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Autriche
1862 - 1918
Art Nouveau
KLIMT Gustave

Peintre autrichien, né à Vienne en 1862, mort en 1918.
Personnalité majeure de l'Art nouveau et du symbolisme viennois.
Second de sept enfants, Klimt est né le 14 juillet 1862 à Baumgarten, dans la banlieue de Vienne. Son père, originaire de Bohême, est orfèvre ciseleur. Sa mère s'est engagée dans une carrière lyrique.

En 1897, Klimt est membre fondateur et est élue président du groupe des secessionnistes.

Pour lui, tout est "art érotique": la femme est son thème exclusif. Sa passion est de représenter la femme dans tous ses états, il a besoin de deux ou trois modèles nus dans son atelier sans vraiment poser pendant qu'il dessine.

Il est mort le 6 février 1918, à la suite d'une crise d'apoplexie, laissa inachevées de nombreuses toiles.

La compagne de gustav Klimt s'appelait Emilie Flöge: elle se présente comme l'amour de sa vie.

Emilie Flöge, la compagne de Klimt jusqu'à sa mort, avec laquelle il ne se maria jamais et ne fut portraiturée qu'une seule fois par l'artiste. Elle dirigeait une maison de haute couture pour laquelle Klimt créa des modèles.

"Je sais peindre et dessiner. Je le crois, et les autres disent également le croire. Pourtant, je n'ai jamais exécuté mon autoportrait. Je me trouve moins intéressant comme sujet de peinture que les autres, et surtout les femmes. Et puis, je n'ai ni le don de la parole, ni le don du mot écrit : quiconque veut me connaître doit donc regarder mes tableaux. En eux, ils verront ce que je suis."

Klimt était un homme au corps énergique, un tête d'apôtre sur un cou de taureau, de cheveux en bataille qui lui donnaient l'air d'un faune. Le contraste entre le raffinement des ses tableaux et ses manières directes et brusques pouvait surprendre. Il vivait modestement, avec sa mère et ses deux soeurs célibataires, mais connaissait la valeur de ses tableaux, pour lesquels il se faisait payer des sommes considérables. Il dormait dans une chambre petite, à peine meublée, travaillait dans un atelier envahi de chats, ne fréquentait pas ces cafés à la mode où l'on parlait art et littérature, où se faisaient et se défaisaient les réputations. Bref, rien qui permette de brosser l'une de ces biographies fascinantes à la Van Gogh. Dans le cas de Klimt, seule sa peinture nous parle de lui.

Pour pouvoir exposer leurs oeuvres, maintenant qu'ils ont rompu avec l'Académie, Klimt et ses amis dissidents se font construire par l'architecte Olbricht un drôle de petit bâtiment, élégant, à la fois épuré et un peu biscornu. Lorsque François-Joseph vint l'inaugurer, en 1898, il n'eut pas un mot de blâme ou de louange. Un peu choqué, on l'imagine, par les femmes impudiques de Klimt, leurs postures aguichantes ou leurs regards alanguis. Mais échaudé, surtout : après avoir inauguré l'opéra et répété fièrement à l'architecte ce qu'un conseiller lui avait soufflé, que l'opéra aurait été plus harmonieux avec quinze mètres de mieux en hauteur, l'architecte s'était suicidé. L'empereur, qui n'était pas mauvais prince, ne souhaitait pas la mort de tous ses artistes, fussent-ils sécessionnistes. Il s'était tu.
Son empire se désagrégeait. Vienne, en 1900, c'était à la fois le temps léger de la frivolité entre beau Danube bleu et grande roue du Prater et le temps lourd de menaces pour un pouvoir qui sentait venir sa chute. Si François-Joseph incarnait bien le bureaucrate que rien, pendant ses soixante-huit ans de règne, ne put ébranler, Sissi, à l'inverse, n'était pas l'oie blanche dont l'opérette et le cinéma ont vulgarisé l'image de marque. Selon Bruno Bettelheim, c'était une narcissique, une hystérique, une anorexique qui mangeait moins qu'un oiseau de peur de grossir et marchait de longues heures dans la campagne, nue sous sa robe, à la grande horreur de sa suite. Elle aurait certainement du beaucoup à dire au Dr Freud.

C'est pourtant dans cette ville malade, mais qui n'était pas près de se coucher sur le divan, que va naître la modernité : la peinture moderne avec Klimt, Schiele, Kokoschka; la littérature moderne avec Schnitzler, Musil, Hofmannsthal, la musique moderne avec Schönberg, Berg, Webern. Ses portraits de femmes rapprochent Klimt de Freud dont l'interprétation des rêves paraît justement à Vienne en 1899, dans l'indifférence quasi générale d'une société trop usée pour capter la nouveauté de cette pensée : le premier tirage n'excédera pas six cents exemplaires et il ne faudra pas moins de huit ans pour l'épuiser...

Klimt, lui aussi, connaîtra le purgatoire. Il n'avait pas eu de prédécesseur. Il n'aura pas de successeur. Et sa "manière" reste difficile à cerner : elle a tantôt l'acuité de Toulouse-Lautrec, le charme vénéneux de Gustave Moreau, le hiératisme précis et glacé des mosaïques d'or byzantines. Plus déroutant encore : l'année même où Picasso fait son "coup d'état pictural" en exposant les Demoiselles d'Avignon, Klimt, lui, semble s'attarder dans le passé en peignant un portrait de femme qui ressemble à la Theodora de Ravenne (celui d'Adèle Bloch-Bauer). Vers 1913, ultime changement : les fonds d'or et les motifs géométriques font place aux courbes, aux arabesques, aux volutes, rendues plus joyeuses encore par l'emploi de couleurs franches : il y a alors chez Klimt une hardiesse qui, cette fois, évoque Matisse... Tout cela fit de lui un étranger dans son époque. Et tout cela, précisément, le rend familier et cher à la notre. ...

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